Recueil général des proverbes dramatiques: en vers et en prose, tant imprimés que manuscrits ...1785 - French drama |
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Common terms and phrases
affez affure aife aime ainfi allez Allons auffi avez raiſon avoit bague bon papa bonheur c'eft c'eſt c'étoit CECILE CHEVALIER chofe choſe cinquante louis CLAIR CLET COLETTE connoiffez COURVILLER COURVILLERS crois croyois Dame FRANÇOISE dife dire DUCORNET DUCRO DUPONT DUTROUILLET eft vrai Eft-ce enfans eſt êtes étoit fâché fais fans doute favez favoir femble femme fera feroit feul fille foir foit fommes fouper fripon fuis fûrement GOUVERNEUR j'ai j'avois jamais JEANNOT JULIE L'EPINE laiffer Laiffez-moi LERON LERON D long-tems LUCETTE m'aimez m'en vais Madame Mademoiſelle maman MARQUISE MAUR Meffieurs Mlle Monfieu le Marquis Monfieur MONGAST MOUSON n'eft n'eſt niece paffer paroître penfer Pere THOMAS Petit MARQUIS Petit MONVAL PIRMONT plaifir préfent PRÉSIDENT PROVERBE DRAMATIQUE Qu'est-ce refte réuffir riche rien robe-de-chambre ROUVIGNI RUSTAUT Saint-Clet Sauffaye SAUSSAYE Scene eft SCENE VII Taffe TASSE tems TOURANGEAU VALPIERRE veux voilà voudrois voulez
Popular passages
Page 185 - Marguerite, il ne faut pas dire : « Fontaine, je ne boirai pas de ton eau ; » le temps passe, et la mort vient.
Page 321 - Hélas, il n'est que trop vrai pour mon malheur! Je croyais ne pouvoir plus aimer; mais l'excès de ma douleur me prouve que je n'ai jamais aimé comme je vous aime.
Page 86 - C'eft à moi de vous en prier : apprenez que je fuis le maître ici. Le CHEVALIER, Vous ? Le MARQUIS. Oui , Monfieur. Le CHEVALIER. Pas tant que j'y ferai. Le MARQUIS. Monfieur , je vous dis que je fais le maître encore une fois.
Page 110 - Te voilà au puits. Refte tranquille à cette heure LE PETIT MONVAL. Tant mieux. Je cauferai plus à mon aife. LE PÈRE THOMAS. Et quelle eft donc cette efpèce d'amitié que tu as pour ta maman Monval ? LE PETIT MONVAL. Dame , tenez , je ne peux pas dire cela , moi ; j'aime maman , parce qu'il faut l'aimer ; quand je la vois fâchée , je le fuis auflî ; parce qu'elle me gronde & me bat plus fort qu'à l'ordinaire.
Page 170 - Sûrement ; pourquoi pas? A propos, on dit que vous vous piquez de les haïr? Mlle DE L'ÉPINE . Mais quand ils seront faits comme vous , je croi.s que j'aurai raison. M. LERO'ND. Ah : mademoiselle , cela n'est pas honnête ce que vous dites là ; mais je veux que vous m'aimiez. M"
Page 163 - Allez, allez; nous nous promènerons après dans mon jardin; je vous ferai voir tous les fruits que j'aurai cette année. M. DE SAINT-MAUR : Je reviens tout de suite.
Page 262 - M. DUCORNET. Je vous réponds que je les aurai . M. DUTROUILLET. Mais, monsieur, je n'ai pas joué. M. DUCORNET. Comment, monsieur, vou-s me donnez un démenti? M. DUTROUILLET. Mais vous le savez bien. M. DUCORNET, sMevant.
Page 178 - Moi, je n'y comprends rien. DAME FRANÇOISE. Allons, vous êtes trop bon, vous. Je m'en vais vous expliquer cela, monsieur de Saint-Maur. Mlle DE L'ÉPINE. Monsieur prétend que vous prenez avec- moi des libertés... . M. DE SAINT-MAUR. Moi? DAME FRANÇOISE. Oui ; eh bien , où serait le mal avec sa nièce?
Page 113 - ... devant un certain monde , cependant on ne le fait point; on ne s'occupe que de votre fanté? LE PÈRE THOMAS. Ma fille , vos façons d'agir font bien indignes ! Dieu vous en punira. L'éloignement que vous avez pour vos enfans , & ce'ui qu'ils ne manqueront pas d'avoir pour vous , vous préparent un jour "bien des peines. Dieu veuille qu'elles ne foiem pas plus grandes que les miennes.
Page 156 - Vous le croyez ? DAME FRANÇOISE : Eh pardi ! demandez-le à lui-même ; il vous dira qu'un jour elle s'est plainte à M. de SaintMaur que Saint-Louis était amoureux d'elle, parce qu'il la regardait quand elle lui parlait.